La ville de demain doit être pensée sur un mode transversal

Bertrand Quélin, Responsable pédagogique de la formation CORPO édition 2023 élaborée par la FedEpl et HEC Paris, considère que les villes de demain auront à ouvrir grand angle le débat sur l’adaptation de leurs activités aux nécessités de la transition écologique. 

Villes contre campagnes : les ficelles d’un faux débat…

Vaines querelles et sujets éculés, les confrontations entre villes et campagnes, dans tous les pays où elles sont mises en scène, oublient d’abord que les deux doivent être complémentaires et que les deux doivent assurer à l’ensemble de la population des conditions dignes d’existence et d’autonomie.

Mixité sociale, bien-être et vivre-ensemble

“A mes yeux, l’urbanisme permet la production d’une pluralité de modalités d’existence pour un ensemble (la société), tout en prenant en compte chacune de ses parties (les citoyens). C’est une condition sine qua non du bien-être et du vivre-ensemble”. Ivan Debernardi, étudiant en Master d’urbanisme à l’Université Bordeaux Montaigne

Mixité sociale, bien-être et vivre-ensemble

“A mes yeux, l’urbanisme permet la production d’une pluralité de modalités d’existence pour un ensemble (la société), tout en prenant en compte chacune de ses parties (les citoyens). C’est une condition sine qua non du bien-être et du vivre-ensemble”. Découvrez la carte poster envoyée par Ivan Debernardi, étudiante en Master d’urbanisme à l’Université Bordeaux Montaigne.

Patrick Boucheron, historien français

Pour Patrick Boucheron, la francophonie est une histoire plus grande que celle de la France métropolitaine. Il reconnaît dans les espaces francophones une urbanité spécifique. Il distingue d’ailleurs deux manières de penser la ville en matière de patrimoine, homogène ou hybride, projection ou inter fécondation des modèles architecturaux. La francophonie porte, selon lui, la question suivante : Comment faire récit de la diversité, au lieu de penser la mondialité des villes sous le regard de la globalisation ?

Patrick Boucheron, historien français

Pour Patrick Boucheron, la francophonie est une histoire plus grande que celle de la France métropolitaine. Il reconnaît dans les espaces francophones une urbanité spécifique. Il distingue d’ailleurs deux manières de penser la ville en matière de patrimoine, homogène ou hybride, projection ou inter fécondation des modèles architecturaux. La francophonie porte, selon lui, la question suivante : Comment faire récit de la diversité, au lieu de penser la mondialité des villes sous le regard de la globalisation ?

Trompe l’œil urbain

“Je suis inspiré naturellement par la ville, l’urbain, l’élément dans lequel je me sens le mieux. A l’aide des images, je voudrais faire voyager les observateurs au-delà de la francophonie, questionner notre conception et nos clichés des espaces mentaux et de nos préconceptions du monde”. Gilles Magnin, étudiant en urbanisme durable et aménagement des territoires à l’Université de Lausanne.

Ville du quart d’heure, ville des GAFA ?

Que cache le retour en grâce récent du thème de la ville du quart d’heure ? Mettant les discours à l’épreuve des faits, Marco Cremaschi, Professeur à l’École urbaine de Sciences Po Paris, où il dirige le Cycle d’Urbanisme, souligne la menace d’un nouveau clivage social rendu possible par l’emprise croissante des GAFA sur les villes.

Trompe l’œil urbain

“Je suis inspiré naturellement par la ville, l’urbain, l’élément dans lequel je me sens le mieux. A l’aide des images, je voudrais faire voyager les observateurs au-delà de la francophonie, questionner notre conception et nos clichés des espaces mentaux et de nos préconceptions du monde”. Découvrez la carte postale de Gilles Magnin, étudiant en urbanisme durable et aménagement des territoires à l’Université de Lausanne.

Webinaire 6 – Le numérique dans le génie urbain des villes décarbonées

Ce 3ème webinaire de la seconde table ronde sur : « La ville décarbonée, des discours au réel ! » pose la question de savoir si le numérique peut aider à rendre nos réseaux plus intelligents, alors qu’il a un impact en termes de GES. Le génie urbain, lui, peut être considéré comme un ensemble des techniques, mise au service de la gestion des flux permettant de traiter de la conception à l’exploitation des villes. La gestion des fluides, déterminant pour une large part le métabolisme urbain, est donc bien une des questions les plus importantes pour réfléchir à la société bas carbone.