Ce travail de thèse, réalisée par Ibtissem Rezgui, Doctorant de l’Université Badji Mokht Annaba, s’inscrit dans un double champ disciplinaire, celui d’histoire culturelle et de l’histoire architecturale et urbaine. Il s’intéresse à la production architecturale émergente dans l’espace algérien durant la période de la colonisation française, en particulier entre 1930 et 1962 et prend comme cas d’étude la ville de Annaba, l’ancienne Bône.
Le but de cette recherche, menée sous la direction de Françoise Taliano-Des Garets et de Khedidja Boufenara dans le cadre d’une cotutelle internationale de thèse entre l’Université Badji Mokht Annaba et l’Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne, est :
- d’apporter des éclairages et des connaissances sur la production d’un milieu professionnel méconnu et dont les acteurs (architectes et entrepreneurs) sont longtemps restés dans l’anonymat,
- de mettre en lien cette production avec son contexte politique et socioéconomique d’émergence pour en comprendre la signification.
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