Devant un paysage plus ou moins terni par une nature mutilée, notamment du fait de l’évolution des villes, il serait judicieux de développer une culture de l’aménagement fondée sur la prise en compte tacite et active de la question paysagère. Afin que “l’anti-vivant” de François Béguin qui a encore droit de cité chez nous, soit bouté hors de nos villes par une métamorphose urbaine adossée à la nature.

 Tel est le sujet de la Tribune de Beaugrain Doumongue, Socio ingénieur et Président de « Construire pour Demain », à lire et à écouter ici