Rénovation urbaine en Afrique : Faut-il supprimer l’informel ?

Selon M. Luc Gnacadja (Président de GPS-Dev, Ancien ministre de l’Environnement et du Développement urbain au Bénin et ancien Secrétaire exécutif de la Convention des Nations Unies sur la Lutte contre la Désertification) : “En Afrique, le terme “informel” est souvent perçu négativement, bien que les villes africaines soient largement informelles aux plans économique et de l’emploi, spatial et institutionnel”.

Urbanisme temporaire : la fabrique de nouveaux métiers

Selon Emmanuelle Picaud (journaliste indépendante) : “Peu répandues auprès des urbanistes au début des années 2000, ces pratiques de l’urbanisme transitoire ont bousculé les codes et les profils métiers du secteur. Jusqu’à créer, pour certains, un bouleversement culturel”.

Projet urbain et design de processus

Structuré en trois parties, ce numéro 24 d’URBIA consacré au thème du design de processus de projet urbain restitue les principaux éléments d’analyse issus de l’expérience, et plus largement, de ce dispositif de recherche-action original, auxquels sont associées plusieurs contributions d’auteur.e.s (expert.e.s praticien.ne.s, chercheur.se.s, étudiant.e.s) qui ont également pu intervenir au cours de cette démarche de recherche-action à Lausanne.

Les urbanistes, futurs promoteurs des transitions ?

Cette problématique est soulevée par Stéphane Péan (consultant indépendant, Ker-Iz Consulting) dans le numéro 436 de la Revue Urbanisme. La planification et l’aménagement des territoires sont des enjeux majeurs pour l’avenir de nos sociétés. Or, en France, le métier d’urbaniste peine à trouver sa place et sa reconnaissance face à des professions plus établies comme les architectes ou les ingénieurs.

Désir de nature dans le Grand Tunis : pour une végétalisation de la ville dense

Ce livre de Imene Zaâfrane Zhioua (architecte et urbaniste), paru aux éditions MétisPresses le 05 avril 2024 dans la Collection “Numérique, vuesDensemble” (184 pages), permet d’aborder la problématique suivante : Comment la capitale tunisienne peut-elle donc prendre en compte cette composante devenue essentielle dans le paysage urbain ?