L’ambiance urbaine du quartier de La Défense durant la Covid19
“Il est important de noter que ces prises de vues ont été réalisées dans un contexte de couvre-feu, dénominateur commun de toutes nos photographies. Espaces vides, usagers nocturnes, ambiance sui generis… Par notre focale, vous découvrirez les différentes facettes de La Défense et ses alentours en temps de pandémie”. Louise Dauthieux et Mohamed-Jawad Chaïl, étudiants en Master 2 Urbanisme et Aménagement à l’Université de Paris Nanterre.
L’esprit d’une ancienne France
“Cette carte postale c’est une partie de l’Histoire de France qui nous surplombe et c’est l’esprit d’une ancienne France qui refuse d’être oubliée. Prenons le temps d’écouter ce qu’elle a à nous dire”. Manuel-Fernando Mujica-Cadena, étudiant en master 2 Urbanisme et Aménagement durable à l’Institut d’Aménagement des Territoires, d’Environnement et d’Urbanisme (IATEUR) de l’Université de Reims Champagne-Ardenne.
L’hôtel de ville de Dakar en 1915, une architecture classique
Construit en 1910 et inauguré en 1914, d’une architecture classique étrangère à son territoire, le bâtiment de la mairie de Dakar a conservé jusqu’à aujourd’hui ses attributions. Plusieurs fois rénové, classé aux monuments historiques, il est devenu l’un des symboles des institutions sénégalaises.
L’ancienne mairie d’Alger, un bâtiment au style haussmannien
Dans l’emballement de la construction sous le Second Empire, certains quartiers algériens, tel que le Front de mer où se situait l’ancienne mairie d’Alger, semblaient devenir des pastiches du nouvel urbanisme parisien, alors en plein essor.
L’hôtel de ville de Casablanca, un édifice “Art déco”
Souvent qualifiée de « ville blanche », Casablanca est riche en patrimoine bâti. Elle a conservé en particulier quelques exemples importants des immeubles en “Art déco” qui ont été construits dans les années 1920-1930.
L’hôtel de ville de Tunis en 1913, un édifice “Art nouveau”
Situé avenue de Carthage en 1913, l’ancien hôtel de ville de Tunis a été réalisé par l’architecte français Jean-Émile Resplandy à qui l’on doit d’autres édifices en style “Art Nouveau” à Tunis.