Faire de l’économie circulaire une réalité des villes : c’est d’abord une affaire d’urbanisme
Selon M. Pierre HURMIC (Maire de la Ville de Bordeaux) : « Les villes idéales sont déjà-là, ce sont celles que nous habitons ». Cette tribune “Urbanisme en Francophonie”, nous rappelle que le temps n’est plus au grandiose et à la démesure, mais à préserver, transformer et sublimer le déjà-là.
Mobiliser la force des jeunes générations francophones pour fabriquer les villes
En cette Journée Internationale de la Francophonie 2024, découvrez la tribune Urbanisme en Francophonie de M. Sokharay Ell (jeune architecte et ancien assistant urbaniste auprès de l’Hôtel de ville de Phnom Penh). La jeunesse d’aujourd’hui est la première génération à devoir faire face aux contradictions humaines…
L’insécurité, patate chaude de l’urbanisation africaine
Dr Beaugrain DOUMONGUE (Socioingénieur et Président de Construire pour Demain), partage sa réflexion sur le sujet dans une tribune, parue le 25 février 2024, dans Financial Afrik, journal spécialisé dans l’information financière en Afrique : “En 2020, un quart de la population urbaine mondiale vit dans des bidonvilles. La même année, ce chiffre s’élève à 82% au Tchad, 78% en RDC, 73% en République Centrafricaine, 68% au Bénin et 67% à Madagascar ; avec une moyenne africaine établie à 50,20%. Comment prévenir la violence en Afrique quand la précarité cohabite avec le continent ?”
Accents graves sur le logement africain
Dr Beaugrain DOUMONGUE (Socioingénieur et Président de Construire pour Demain), partage son point de vue sur le sujet dans une tribune, parue le 19 février 2024, dans le bimensuel togolais, Imagine Demain : “Le logement est un sujet qui à l’image d’une voie lactée, poussiéreuse d’étoiles, entraine dans son sillage des enjeux multiples qui questionnent l’humain dans son environnement, les questions foncières, l’écosystème de la construction, les failles régaliennes, etc…, toutes choses qui en font un défi systémique en Afrique. D’où l’importance de mobiliser en réponse des outils non moins systémiques. L’enjeu systémique du logement sur le continent est poussiéreux de défis socioéconomiques dont l’entrelacement brouille l’appréhension multisectorielle de ce sujet complexe”.
La ville du quart d’heure : l’arc-en-ciel de la proximité heureuse
Carlos Moreno (Directeur scientifique de la Chaire ”Entrepreneuriat Territoire Innovation”, à l’IAE Paris-Sorbonne Business School et Professeur à l’IAA, International Academy of Architecture) nous explique que : “Le concept de la « ville du quart d’heure » est né d’un travail de recherche cherchant à comprendre le rapport entre le temps et la ville urbaine et territoriale, à travers la convergence de trois courants : le chrono-urbanisme, rapport du temps par rapport à la vie dans la ville, la chronotopie, la manière d’utiliser un lieu de manière polyvalente en fonction du moment et la topophilie, le récit autour du lieu dans lequel on vit”.
Croiser les regards sur les villes du Nord et du Sud sur la fabrique urbaine
Isabelle BARAUD-SERFATY (Fondatrice d’ibicity, agence de conseil en économie urbaine) cite : “Assurément les dynamiques urbaines ne sont pas les mêmes dans les villes du Nord et les villes du Sud. Assurément aussi, les « imaginaires urbains » ne sont pas les mêmes des deux côtés de la Méditerranée. Mais il est certain que croiser les approches est enrichissant, qu’il s’agisse de faire de la prospective urbaine, mais aussi, pour faire de l’aménagement opérationnel”.
Le marché de l’immobilier peut-il repartir en 2024 ?
C’est à cette question que répond l’économiste Ingrid Nappi (professeure à l’École des Ponts et directrice de recherches à l’Institut Louis Bachelier) avec Yann Jéhanno, dans la matinale de France Inter. Elle a, par ailleurs, rédigé une tribune “Il nous faut rénover et amplifier le parc de logements existants”, dans Le Dauphiné libéré (journal quotidien de la presse écrite française régionale).
L’art, source de valeurs et passerelle interculturelle, au cœur de nos villes
Selon Hon. TOMAINO NDAM NJOYA (Maire de Foumban et Présidente du Syndicat des Communes du Noun) : “L’art et la culture, comme affirmations de soi et de la vie, d’instants de partage et d’éternité et d’expressions des richesses et des identités, sont au cœur des entreprises humaines. L’activité artistique participant à l’éclosion et la révélation du Génie Créateur”.
La ville résiliente se fera à partir d’une gestion efficace des éléments et des ressources naturelles
Cette tribune, signée par Ingrid NAPPI, Économiste, Professeure HDR (Aménagement Urbanisme) de l’École des Ponts ParisTech, Titulaire de la Chaire Économie de la Transition écologique urbaine à l’Institut Louis Bachelier, pose l’idée que la ville résiliente et durable sera non seulement une ville bas carbone qui respecte l’environnement, mais également une ville qui saura s’adapter aux usages et besoins qui ne cessent d’évoluer.
L’art et les cultures urbaines, enjeux et facteurs de développement et de paix
Cette tribune a été prononcée par Pierre Baillet, Secrétaire Permanent de l’AIMF, en ouverture du colloque sur “L’art et les cultures urbaines, enjeux et facteurs de développement et de paix” dans le cadre du congrès #AIMFCotonou2023.