Le guerrier bantu sur l’île de Gorée

“C’est cette carte postale que je voudrais envoyée parce que cette œuvre fait appel au voyage, à l’histoire, mais elle fait aussi appel aux échanges culturels. Donc, j’ai ce souvenir, quand je vois ce guerrier bantu sur cette fenêtre posée sur l’Île de Gorée, de ces enfants qui racontent l’histoire de leur île et date par date l’histoire de l’esclavage”. Kouka Ntadi, artiste franco-congolais.

Kouka Ntadi : artiste-peintre franco-congolais

Kouka Ntadi évoque dans ce grand entretien Urbanisme en Francophonie : son rapport à la langue française, la portée universelle de l’expression artistique, les spécificités des villes francophones notamment en matière de patrimoine artistique, les avantages mais aussi les freins auxquels est confronté l’art urbain…

L’hôtel de ville de Dakar en 1915, une architecture classique

Construit en 1910 et inauguré en 1914, d’une architecture classique étrangère à son territoire, le bâtiment de la mairie de Dakar a conservé jusqu’à aujourd’hui ses attributions. Plusieurs fois rénové, classé aux monuments historiques, il est devenu l’un des symboles des institutions sénégalaises.

L’hôtel de ville de Dakar en 1915, une architecture classique

Construit en 1910 et inauguré en 1914, d’une architecture classique étrangère à son territoire, le bâtiment de la mairie de Dakar a conservé jusqu’à aujourd’hui ses attributions. Plusieurs fois rénové, classé aux monuments historiques, il est devenu l’un des symboles des institutions sénégalaises.

Dakar, de 1951 à 1955 : Bâtir pour l’avenir ?

Les deux extraits, diffusés en 1951 et 1955, montrent Dakar, composée de 320 000 habitants en 1955 (contre 1,146 million en 2013), une ville en pleine transformation où se construisent des bâtiments de 10 à 12 étages et où poussent, tels des champignons, des villas et des pavillons aux formes simples (bulles ou parallélépipèdes), en ciment. Quelle leçon commune comprendre de la part de modernité nichée dans la tradition ?

Dakar, de 1951 à 1955 : Bâtir pour l’avenir ?

Les deux extraits, diffusés en 1951 et 1955, montrent Dakar, composée de 320 000 habitants en 1955 (contre 1,146 million en 2013), une ville en pleine transformation où se construisent des bâtiments de 10 à 12 étages et où poussent, tels des champignons, des villas et des pavillons aux formes simples (bulles ou parallélépipèdes), en ciment. Quelle leçon commune comprendre de la part de modernité nichée dans la tradition ?